Bonjours je suis Philippe, Jean
Philippe, je suis un ouvrier,je reçus la lettre de convocation
lorsque j'etais chez moi apres être rentre du travail,j'etais
convoqué à la cours d'assises pour être juré,pour être un bon
juré je devrais quitter ma paisible vie pendant plusieurs jours,et
je ne savais pas quoi faire car j'allais devoir juger un homme ou une
femme,je n'avais jamais été juge car je suis ouvrier.Le pire quand
l'on est convoqué c'est d'etre tiré au sort puis etre viré car on
a connaisance de l'horreur mais on veut savoir la suite,on veut
savoir ce qu'il va se passer pour le coupable.Dans mon affaire,un
homme est d'accusé d'avoir tué une autre personne , une femme du
nom de pamaïla andirson,il l'a torturé en l'electrocutant apres
l'avoir sequestré dans sa cave puis l'a tué , cette femme avait
juste imprimer les papiers du divorce de la femme du coupable et du
coupable.,la victime avait une famille , elle etait mere et marié et
avait 3enfants dont un nouveau née et elle etait enceinte, ses
enfants ne la reveront jamais vivante,cela m'a fait beaucoup de
peine.l'homme devra etre puni, il le mérite.
Malgrès l'inhumanité de cet
homme et sa folie, j'ai eu pitié de lui lorsqu'il est rentré dans
la salle.Il affichait une mine déconfite avant d'exploser en
pleurs.Nous avions du mal a juger cet homme, une grosse peine ou une
petite peine,car nous décidions de la vie de cet homme, il nous
faisait pitié tout comme la victime.L'équipe de jurés que nous
étions decida de punir cet homme, nous lui donnions après de
grandes déliberations 20 ans de prison,nous n'etions pas tous
d'accord mais c'est la majorité qui l'emporta.La famille demanda
7500euro ,ce qui fut accepté.Après avoir jugé cet homme les autres
juges et moi meme restions en contact.Nous ne savons toujours pas si
nous avons bien fait de condamner cet homme à une peine aussi
grande.L'incertitude régne toujours parmi les juges et desormais
nous la comprenons.
Victor et Vadim
Le
jour où j’ai appris que j’allais être un juré d’assise étais
un frais matin d’hiver.
Je
prenais tranquillement mon petit déjeuné quand j’entendis un
bruit familier retentir. C’était la sonnette du vélo du facteur.
Je sortis alors pour prendre le courrier : Pub, Pub, Pub,
facture,…
Soudain
une lettre retint mon attention, c’était une lettre de la mairie.
Ne
comprenant pas pour quelle raison on m’envoya une lettre, je
m’empressa de l’ouvrir.
« Monsieur
Martin, vous avez été choisit pour représenter la justice
française en incarnent le rôle de juré dans une cours d’assise,
veuillez vous présenter muni de votre convocation ci jointe le 18
janvier 2013 au tribunal de Poitier »
Je
n’en cru pas mes yeux, j’étais abasourdi, on venait de me
confier le sort d’un homme entre mes mains
Ca
y est, c’était le jour J, je ne pouvais pas reculer, je devais
assumer mon rôle.
Je
rentrais dans le tribunal avec beaucoup d’appréhension, j’avais
peur de découvrir l’inconnu.
Je
m’assoie sur le banc, je regarde autour de moi, c’était l’heure
du tirage au sort.
Le
président appelle un nom, puis un autre, puis un troisième
et… « Juré numéro quatre, Monsieur Martin »
C’était
la dernière ligne droite, je me leva, le regard fixe, le dos droit,
mon cœur battais à cent à l’heure, je me concentrais sur mes pas
pour ne pas tomber, je priais pour entendre le mot « récusé »
car j’avais peur mais je n’entendis pas ce mot, j’était
officiellement juré d’assise.
L’affaire
pour laquelle j’étais convoqué était une femme qui a brutalement
assassiné son mari après une violente dispute.
Chaque
jour devenait de plus en plus long, j’assistais à de nombreuse
séance d’audience toute les plus terrible les une que les autres.
La femme racontais des détails sordides sur la façon dont son mari
la battais.
Au
final, la femme écopa de 5 ans de prison avec sursis.
Thomas
Breton et Timothée Lecoq 2nd
12
Je m'appelle
Lucie DE VILLOUTREYS, j'ai 27 ans, j'habite à Paris et je travaille
dans le marketing.
Le lundi 12
Mars 2014, en rentrant de mon travail, j'ai trouvé dans ma boîte au
lettre, une lettre venant de la Mairie en m'apprenant que j'allais
peut-être participer au tirage au sort pour devenir juré. Une
semaine plus tard, j'ai reçu une convocation qui me confirmait ma
participation au tirage au sort. Je n'avais pas encore pris
conscience de la situation, j'allais peut-être devenir juré.
Le jour de
l'audience, lorsque mon nom fût appelé, je me suis senti si
impressionnée que je ne savais pas si j'allais avoir la force de me
lever. Une fois le tirage au sort effectué, l'ensemble des jurés et
moi nous rendîmes dans un pièce isolée.
Nous avons
pris connaissance de l'affaire, c'était l'histoire d'une femme ayant
braqué une bijouterie mais le propriétaire qui détenait une arme a
tenté de s'en servir mais la jeune femme lui a immédiatement tiré
dessus, le bijoutier est mort sur le coup.
En apprenant
cette histoire je fus complètement bouleversée. Aux premiers
abords, l'affaire me paraissait simple à juger. Mais avec du recul
et beaucoup d'efforts pour oublier mes préjugés, j'ai pu écouter
chaque partie plaider en oubliant ma peine pour la victime et sa
famille. Mais je n'étais pas la seule, en discutant avec les autres
jurés, je compris que nous ressentions tous les mêmes sentiments,
c'est-à-dire que nous étions désemparés face à ce crime. Chaque
jour, plus le procès avançait, plus les doutes s'installaient
vis-à-vis de la victime et de son rôle dans l'histoire.
Le dernier
procès arriva, la décision finale aussi ; l'accusée fut condamnée
à vingt ans de prison et la famille reçue 13 000 euros
d'indemnités.
Cette
expérience restera longtemps en mémoire, le rôle de juré est
difficile, il faut arriver à prendre du recul, oublier ses préjugés
et prendre la décision la plus objective possible.
Lorène et Anais
C'était le 1er avril 2007, je
rentrais du travail vers 18h, j'ouvris ma boîte aux lettres. Et je
vus une lettre venant du Président de la cour d'assises d'Angers. Je
l'ouvris et je vois une invitation à être juré pendant une affaire
qui n'ai pas détaillé. C'est ma première fois. Je ressentais une
peur à l'interieur de moi. Une sorte d'anxiété m'envahissais.
Le jour venu je tremble de la tête
aux pieds. Je ne suis pas prêt. Il est dur de décider le sort d'un
être humain.
Arrivée au palais, je n'étais
pas seul, il y a beaucoup plus de personnes que je ne le pensais, ils
doivent être choisi comme juré comme moi. Un monsieur arrive pour
affiché une feuille. On s'approche et on voit la nature du procés.
C'est un père de famille qui a tué le plus jeunes de ses enfants et
l'a caché dans le congélateur pendant une semaine. Je reste bouche-
bée et je ne suis pas le seul. Je n'en parle pas, je ne veux pas
montrer mes faiblesses.
Le moment du tirage au sort, un
stresse me conquis. Je fus choisi le dernier. Quand le president dis
mon nom, j'ai les larmes aux yeux. Je n'ai pas envie de jugé ce
prcés. Mais j'y suis obligé, il faut que je mette mes sentiments de
jeune papa sur le côté et que je pense uniquement à cette enfant
coupé de la vie par son père.
Quand j'arrive avec les autres
jurés une tension s'installe, on se regarde, on se dévisage, sans
rien dire, sans aucune expréssion sur le visage... Mais je vois bien
leurs jambe, leurs mains trembler... Le coupable entre.
On le dévisage, il est jugé par
sonapparence, jugé par ses manières de se déplacer... Il est mal à
l'aise, tout le monde le vois, tout le monde sait ce qu'il a fait.
Le procés commence. Le président
explique les faits. On écoute, on a peur.
C'est à l'accusé de parlé, il
veut parraître innocent avec des excuses fausses et non crédible :
« depuis que cette enfant était venu au monde, il y a 3 ans,
la famille marchait sur des oeufs », « il est
pleurnicheur, bruyant, désobéissant », « je n'ai pas
fais exprès de le tuer, pris de panique j'ai placé le corps dans un
endroit ou personne irait fouiller », « je l'aimais ».
C'est à nous de juger. Nous
allons dans une salle à part avec le président, la tension monte.
Le président nous rassure, et
nous met en confiance. Tout le monde dit son avis, moi je dis que
c'est excuse ne tienne pas la route et qu'il n'assume pas avoir tuer
l'enfant volontairement. Il dit qu'il regrette son acte maos l'enfant
est mort mais ne reviendra pas. Nous rtournons dans la salle, les
témoins passent, leur explications sont difficiles à entendre, le
père a bel et bien tué son fils d'après les nombreux témoignages.
Je n'en peux plus, ça fait 5h qu'on est enfermé, j'ai peur, je suis
fatigué.
Le président repousse le jugement
au lendemain. Je sors du palais de justice c'esu une liberation, mais
il faut y retoiurner demain.
Le procès à durer 3 jours, à la
fin du 3eme jours, la délibération est dite. L'homme est emprisonné
pour 30 ans. Je pense, personnellement, qu'il mérite plus. Il
méritais la perpétuité.
Célia & Laure.
Je suis Julie
MARTIN, j'ai 23 ans et j'ai été tiré au sort pour participer en
tant que juré au procès du 12 juin 2012 c'était un samedi matin,
je descend pour chercher le courriel et je découvre entre deux
prospectuces une lettre de la mairie qui m'imforme de ma
participation au procès de monsieur George accusé de violence et
de tentative d'assassinat en vers Rémi Poinsseaux un lycéen de
Paris qui est à ce jour en rémission depuis trois mois et a perdue
l'usage de ses mains suite à une torture physique avec une barre
métallique. Sur le coup j'était surprise et heureuse.
Le jour du
procès je me suis présenté pour le tirage au sort, et j'ai
rencontré le juge qui allait présider l'affaire et qui nous tout
expliquer dans les moindres détails. A ce moment là je fut
tétaniser et choquer par la violence de ce procès, je ne me sentais
plus capable de juger cette affaire. Quand le procès est arrivé je
me suis présenté la boule au ventre et j'ai été tiré au sort en
huitième juré. Je n'ai pas eu vraiment le temps de me poser de
questions et ne savait pas comment juger cette affaire. L'accusé
entra et tout le monde se tourna vers lui. Il était grand, brun et
semblait tout à fait détendu se qui m'interpela. Durant plus d'une
demi heure il reconnu les faits de la gravité de son crime. A la
pause nous discutâmes de la situation avec les jurés. De retour en
salle ce ne fut plus très long car les faits étaient là. Le mieux
que pouvait faire l'avocat de l'accusé était de réduire la peine
d'emprisonnement. La peine fut à perpétuiter mais seulement 20 ans
ferme. Suite à la descision je me tournait vers la famille de la
victime, elle semblait soulager mais choquer du procès.
Cette
expérience fut éprouvante mais très intérésante car j'ai appris
beaucoup de choses et vécu une audience inoubliable.
Margaux et Félix
Le 6 juin 2013,je recu une
lettre me convoquant une semaine plus tard au tribunal ou je devais
être jury dans une affaire de meurtre. Dans la lettre ils
expliquaient que l'accusé etait soupssonné du meurtre de sa fille
et de tentative de meurtre sur sa femme.
Une semaine plus tard je
me rendis au tribunal pour assister à la première seance en
ésperant être tiré au sort parmis les vingt personnes
selectionnée.
Je fus le septième jurés
choisie.
Des que les deux juries
suivant furent appeler nous allâmes nous asseoires à côte des
juges.
La première séance fut
interessante car le partie de la victime se presenta et décris les
accusations. La séance fut levée à midi et le juge nous accompagna
dans une salle de deliberation. Parmis les juries ils n'y en avaient
que deux autres qui avaient déjà etaient juries.
Pendant la séance de
l'apres midi ce fut autour de l'avocat de l'accusé de presenter son
client.
Cela me réjouit car j'ai
déjà etait jurie deux fois mais seulement dans des affaires ou la
defense n'etait pas convainquante, dans les deux affaires ont avaient
bien vu que l'avocat n'y croyait plus et qu'il pensait déjà à
l'affaire suivante.
La, tout aller être
different de nombreuses preuves etaient en faveur de l'accusé le
jugement des jurys aller être decissif.
Vers dix-neuf heures le
juge reporta la séance au lendemain. Je rentrer donc chez moi avec
l'envie de revenir le plus rapidement possible car demain
l'accusation presentera differentes preuves.
Pierre et Maxime
Tout à commencé le 25 Décembre 2013, j'ai reçu une lettre du tribunal qui me demandait d'être le juré d'une cour d'assise. Arrivé au tribunal, nous étions une vingtaine à avoir été convoquer ; seul neuf d'entre nous serons choisis pour s'asseoir à côté du juge.Comme je le pensais, j'ai été tirer au sort. Je me suis assis et ai attendu que tout le monde soit tirer au sort. Après sa, nous avons eu connaissance de l'affaire à jugée. C'était l'affaire d'un jeune de 19 ans qui est accuser d'avoir braquer une superette avec un revolver, de s'être enfui avec l'argent de la caisse et d'avoir tirer sur un agent de police d'une balla dans le bras, quand il était en déli de fuite. Je trouve sa asser triste qu'un jeune soit réduit à sa pour survivre, car soyions d'accord on ne fait pas sa pour s'amuser et quand on a de l'argent. J'ai esperer à ce moment là que le juge, et les autres jurés surtout, soient clément pour sa peine. Je ne vais pas être un méchant juré juste parce qu'il a essayer de s'en sortir dans la vie. Bien sur que ce qu'il a fait est mal et il sera puni pour sa. Ce qui m'influence dans mon verdict c'est qu'à son âge, j'étais comme lui: insoucient, ne pensant pas aux conséquences de mes actes. Maintenant j'ai grandi, j'ai muri et je peux à présent prendre les bonnes décisions. Lors de la délibération, je n'étais pas d'accord avec les autres jurés: ils voulaient tous lui donner prison à perpétuiter, mais moi je voulais qu'il ai 15 ans avec surci et de prendre en charge les frais d'hopitaux de l'agent de police blessé. Sa a été dur de les convaincre mais j'ai réussi à les dissuader.
Vincent
Je
suis Gérard du marchand,juré d'assise dans un procès pour vol a
main armé. J'ai été convoqué car j'avais plus de 23 ans et mon
casier judiciaire est vierge. L'accusé(était un homme d'un mètre
quatre-vingt-dix,il était rasé de près avec un costume noir très
élégant)essayé de voler une voiture à un homme mais l'homme à
essayé de riposter donc le voleur à sortie un couteau et la planté
dans le corps de l'homme; heureusement il n'a touché aucun organes
vitales donc l'homme n'est pas mort mais à quand même été
grièvement blessé; le voleur a été interpellé deux rues plus
loin par un policier qui la vue avec un couteau imprégner de sang.
Lorsque je suis rentrer dans la cour d'assise avec les autres juré
ils ont commencés a appelles les 11 jurés (9 titulaires et 2
remplaçants),les jurés sont tiré au sort mais certains peuvent
être refusé. Durant le procès les juré n'ont pas le droit a la
parole et doivent attendre la fin de la journée pour parle au juré
principale du procès. Un serment a été formuler par tout les juré.
Il stipules que durant tous le procès nous devons rester objectifs ,
dés que je fut sous serment ,je dut attendre la fin du procès pour
délibérer avec les autres jurés. Lorsque l'accuse rentrât dans la
cour d'assise je ne pouvais pas imaginer un voleur armé car il
paraissait tout a fait normal. Mais je me suis souvenus que j'étais
sous serment et j'ai attendu les accusations pour porter mon premier
jugement. Je ne connaissais aucun juré avant le procès ni l'accusé
car sa pouvait porter préjudice a mon jugement. Durant tous le
procès j'ai regarder l'accuse avec du recule pour pouvoir dire la
meilleurs accusations possible.
Dés
que la délibération a commencé un débat acharné commença entre
les personnes qui le croyait innocent à cause de son apparence et
les autres qui le pensé coupables car il avait sans le vouloir
essayer de tuer un honnête homme avec un couteau.
A
la fin du procès l'accusé a été condamner a 15 ans de prison et
une amende de 4000 euros.
Zacharie et Antoine
Jeudi
8 mai en rentrant chez moi, comme d'habitude je m'installais devant
la télé en attendant mon épouse. Elle arriva 2 heures après en
m'apportant mon courrier d'un air surpris car je n'avais pas
l'habitude de recevoir du courrier. Quand j'ai ouvert la lettre j'ai
premièrement cru à une blague, ce genre de choses n'arrive pas à
des gens comme moi. Je me suis renseigné sur internet des heures entières car j'étais anxieux à l'idée de décider de la vie d'un
homme, j'étais anxieux en pensant que sa vie dépendait de mes
convictions, je me sentais puissant aussi, pas supérieur mais
puissant, j'avais été sélectionné pour juger un homme à la Cour
d'Assises
Une
fois arrivé à la cour j'ai grandement été impressionné par les
lieux j'ai éprouvé une réelle admiration pour les magistrats et
les avocats qui participent à l'œuvre de justice. Ce n'est pas une
mince affaire que de la rendre. Malgré les années d'expérience, on
sent chez ces hommes et ces femmes un grand sens du devoir et une
profonde humanité. Les autres jurés et moi avons été placés sur
les bancs dans la salle d'audience. Et nous avons appris que nous
allions être (encore une fois) sélectionnés pour VRAIMENT apporter
notre participation à l'affaire. Quand vint mon tour un sentiment
d'insécurité m'envahit, je me posais beaucoup de questions,
beaucoup trop. Ils me regardaient m'analysaient rien qu'à ma
démarche et je compris que j'allais devoir faire de même avec
l'accusé.
L'affaire
était coriace ; un homme en avait gravement blesser sa femme la
prenant pour un cambrioleur, la pauvre dame s'était pris de
multiples coups de couteaux et avait perdu l'usage de sa main droite,
cet incident l'a rendu paranoïaque et elle ne parlait plus. Nous
progressions petit à petit dans la connaissance des faits et des
personnalités, des doutes et des incertitudes naissaient et au bout
d'un moment on découvraient dans notre esprit on s'attachaient aux
membres de la famille et aussi à leurs accusés. L'émotion est bien
présente. Elle est même quelquefois très forte. On essaie de
lutter et de ne pas se laisser submerger. J'ai le souvenir du
témoignage du père d'une victime qui m'avait complètement
bouleversé par la détresse qu'il exprimait.
Notre
dénouement à finalement été celui de la folie de la femme de
l'accusé c'était un coup monté, un complot. En effet elle avait
tourné les choses en sa faveur car c'était elle qui avait voulu
tuer son époux, le pauvre homme n'avait fait que se défendre. Mme X
a finalement été internée en psychiatrie et son mari acquitté.
«Je
viens d'être juré d'assises et c'est une expérience humaine très
forte. Vous vous sentez appartenir pleinement à la société. Vous
voyez la justice fonctionner réellement et au regard des affaires
que vous êtes amené à juger, vous réalisez qu'elle est nécessaire
au vivre-ensemble, à la démocratie. Vous êtes confronté à la
violence et vous vous devez d'affronter cette réalité. Rien ne
prépare à cette expérience. D'autant plus lorsqu'il s'agit de
condamner un être humain, parfois pour des peines très lourdes.
Cette tâche implique alors un sérieux et une prise de conscience
réelle de la situation.»
Naomie
http://www.lemonde.fr/societe/article_interactif/2010/02/22/etre-jure-d-assises-une-experience-d-une-rare-intensite-qui-marque-a-vie_1309528_3224.html
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