LA REVUE DE PRESSE
DES ÉLÈVES DE SECONDE 12
LABYRINTHE
Painted aluminum and plexiglas, 183 x 183 cm,
Courtesy Galerie Peter Freeman Inc., Paris.
Kenneth Robert Lum, dit Ken Lum est né en 1956 à Vancouver, il est d’origine Chinoise. C’est un artiste contemporain.
Cette
oeuvre représente un labyrinthe peint sur du plexiglas et de
l'aluminium, le peintre a dû utiliser une peinture spéciale pour que
l’oeuvre ne soit pas reconnus comme une peinture, car à première vu
cette oeuvre ne ressemble pas à une peinture. le labyrinthe est bleu et
rose,ce sont des couleurs vives et visibles qui attirent l’oeil. Il est
compliqué et quand on le voit on a l’impression que si on rentre dedans
on n’en sortira jamais, mais une fois dans le labyrinthe il suffit
d’aller à gauche et de continuer tout droit pour trouver la sortie. Ce
n’est donc pas un labyrinthe très compliqué, l’artiste a cherché à
rendre un labyrinthe facile difficile en créant de nombreuses solutions.
Cette
peinture pourrait plaire aux enfants car les enfants aiment s’amuser à
trouver la sortie du labyrinthe. Les adultes pourraient trouver ce
labyrinthe intéressant et délivrant un message philosophique. Le message
délivré est qu’il est plus facile de choisir son chemin que prendre
celui des autres, il faut faire ses propres choix au lieu de suivre ceux
des autres, il faut faire les choses par soi-même. Cette oeuvre peut
rappeler les autres peintures du peintre, car toutes ses créations
représentent un labyrinthe. Nous pensons que cette oeuvre est originale
et c’est d’ailleurs pour cela que nous l’avons choisie.
Naomi Ngué et Antoine Bizien.
HAPPINESS
Sarah Pucci (d'origine italienne)
Happiness, 1980's
perles, paillettes, 32,5 x 28 cm
Air de Paris.
Cette
oeuvre est une sorte de sculpture en forme de coeur composée de perles
et de paillettes qui peuvent faire penser aux strass qui se trouvent sur
les jouets de petites filles.
Elle
dégage une atmosphère féerique digne des contes de fées. Elle peut
faire penser à une boîte à bijoux contenant plein de trésors. Ou alors,
elle peut nous faire penser à une boîte remplie de confiseries. L’oeuvre
a des couleurs vives et chaudes tournant autour du rose ,qui peut faire
penser aux confiseries, et de l’orange qui peut faire penser aux
couleurs de l’été et donc du beau temps qui nous rappelle encore
l’univers des princesses.
Ces
oeuvres tournent toujours autour du même sujet qui est l’enfance, les
princesses et les bonbons. Sarah Pucci veut sûrement nous faire
comprendre qu’elle aimerait encore être une enfant car on ne connaît pas
la société, on est innocent et naïf. On croit à des choses qui
n’existent pas forcément : les fées, les princesses, les fins heureuses…
On
retrouve dans ses autres oeuvres des manèges en miniature et des boîtes
à musique toujours réalisées avec des perles et des paillettes. Son art
est totalement centré autour de la féerie et de l’enfance.
Ses
oeuvres changent du quotidien car souvent l’art sert à représenter la
réalité ou sont totalement abstraites ce qui est assez triste ou
frustrant selon le thème abordé. Quand on s'intéresse au oeuvre de Sarah
Pucci,on remarque une certaine facilité à comprendre le sens des
oeuvres et elle apporte une certaine joie grâce aux éléments et aux
sujets choisis.
Nous
apprécions cette oeuvre car elle est originale et intéressante. Tout
d’abord, nous aimons les matériaux choisis car nous sommes des filles et
cela nous ressemble. Ensuite, le thème abordé nous affecte
particulièrement car nous ne sommes pas encore totalement sorties de
l’enfance et nous sommes encore sensibles à cela. Pour finir, la folie
de cette oeuvre nous donne le sourire et nous fait penser à des choses
gaies ce qui est très appréciable.
Célia Jonemann et Margaux Laurenson
VACANCES
Marie Voignier,
née en 1974 et vit à Paris
Hinterland, 2009
Courtesy : Marcelle Alix, Paris / production Capricci Films
On
peut remarquer dans cette image une certaine profondeur dans la photo.
Cela est lié à l’image en arrière-plan. Les personnes sont en train de
contempler la vue sur ce paysage “crée “ qui se fond dans une atmosphère
calme et sereine. Il se dégage de cette photographie relaxation et
tranquillité. Les protagonistes apparaissent comme des éléments de la
photo
car on peut distinguer par leur posture leur joie et le fait qu’ils
profitent de l’instant. Les protagonistes se baignant au loin montrent
l’immensité du hangar, ainsi on peut remarquer que les concepteurs de
ce hangar donnent de l’importance à ce décor grâce au contexte estival
de la photo. Le réalisme voulu par les concepteurs est caractérisé par
le sable, et la représentation du ciel ainsi que par la présence de
petites habitations, présentes dans le but de rendre l’effet plus
envieux. L’envie de changer de paysage est de faire de ce moment un
souvenir pour donner plus goût aux protagonistes de recommencer cette
aventure dans le but de promouvoir les voyages dans les pays chauds
possédant des accès à la mer pour les touristes. Néanmoins on
aurait pu penser qu’il y aurait eu plus de monde dans ce lieu. Il y a
une présence importante d’éléments tropicaux comme l’eau turquoise, le
ciel dégagé, plantes tropicales ainsi que d’habitations typiques de
lieux prisés.
Aujourd’hui
ce genre de lieu est très recherché par les populations aisées. Ainsi,
pour rendre ce genre de lieu à la portée de tous, les concepteurs ont
rendu cela possible et moins coûteux en déplacements à l'étranger.
Malgré l’emplacement du lieu paradisiaque (dans un hangar), le confort
et la détente priment.
Robin Grout-Sahénard et Sévan Tisserand.
REPASSAGE
Michaela Thelenová, Au moment où vous rentrez du travail tout sera nettoyé,
2010 (90x60cm).
On
peut voir sur cette photographie un amas de vêtements empilés sur un
lit. Ces derniers vont même jusqu’à toucher le plafond ! On peut
constater aussi que ces vêtements sont propres et repassés. Nous voyons
aussi les différents habits de chaque membre de la famille ; en bas les
habits du père de famille et tout en haut ceux du nouveau né. Entre ces
deux couches on distingue les habits de la mère et de l’adolescent.
Passons maintenant à l’explication du titre qui est très explicite.
Cette photographie est en fin de compte un message d‘espoir du jour où,
quand on rentrera du travail le linge se sera plié tout seul !
On
peut aussi penser que la famille déménage et qu’elle s’apprête à mettre
tout son linge dans ses valises, d’où le caractère impersonnel de
cette pièce.
Pour
conclure, cette oeuvre est inventive et drôle, ce qui attire le
spectateur non pas à la regarder mais à l‘analyser. Par cette oeuvre
Michaela Thelenova a su saisir notre étonnement et notre attention.
Arnaud de Larminat et Diogo Pereira.
SUR ECOUTE
If these walls could talk
Cette
oeuvre est une oeuvre d’une artiste argentine nommée Amalia Pica. Elle
représente des boites de conserve accrochées à deux murs qui sont face à
face. Ces boites de conserve sont reliées entre elles par des fils blanc.s
L’artiste se pose la question de savoir si peut être l'art pouvait
avoir un rapport avec la communication. Cette oeuvre pourrait nous faire
penser à un dialogue entre deux mondes parallèles. Elle nous rappelle
notre enfance à écouter aux portes avec un verre collé à l’oreille. Le
titre de cette oeuvre est “if these walls could talk” ;
en français “ si ces murs pouvaient parler”, il est donc question d’un
dialogue entre des murs.
Cette oeuvre est captivante car les boîtes de
conserve sont de toutes les couleurs et les murs sont tout blanc. Elle
nous fait penser a un paradis de couleurs dominés par de grands murs
blancs. Toutes ces ficelles nous font penser à une gigantesque toile
d'araignée. Cette oeuvre à une touche de fantaisie par ses couleurs et sa géométrie. Des
tons plutôt claires nous donnent l’impression que l’oeuvre est profonde.
Nous apprécions donc cette magnifique oeuvre de Amalia Pica.
Jade Piani et Arthur Tordera.
ETOILES
Gary Simmons
Regen Projects
2013
L’artiste a pour nom Garry Simmons, il est américain et il est né a New-York en 1964. Il a crée Regen Projects. Le "United States Artists" lui a été remis. C’est l’un des plus grands artistes du 20° et du 21° siècles.
Sur
ce tableau nous pouvons voir huit étoiles de couleurs sombres associé à
un fond blanchâtre. En arrière plan nous pouvons voir un article de
journal qui a été découpé. Cette oeuvre peut rappeler le tableau de Jasper Johns, “Flag” qui a été peint entre 1954 et 1955 et qui représente le drapeau américain avec ces cinquante étoiles .
Ce
tableau nous force à regarder les étoiles noires qui tombent comme des
étoiles filantes car les étoiles ont l’air de laisser une traînée noire
derrière elles. Elles suscitent l’admiration du spectateur car Gary les a
faites noires sur un fond blanc.
Le
mélange de couleurs sombres et de couleurs claires fait ressortir la
beauté de cette oeuvre et peut nous raconter une histoire ou nous faire
penser à un souvenir agréable et nous faire rêver.
Sur l’article en arrière plan est marqué le nom de huit boxeurs
célèbres de l’epoque. Nous pouvons penser qu’une étoile correspond à un
boxeur ce qui serait un hommage au huit boxeurs en questions.
Vincent Dumé et Zacharie Ouerdane.

COLLANTS
Martin Soto Climent
installation view Museum Morsbroich, Leverkusen, 2009
courtesy T293, Naples
Martin
Soto Climent est un artiste moderne né en 1977 au Mexique. Il travaille
dans sa ville natale, Mexico city. Il a commencé ses oeuvres en 2001 et
n’a pas encore fini sa carrière.
Il s’agit de l’intérieur d’une pièce d’un appartement qui semble très vaste, très luxueux. Car nous pouvons observer de la peinture très vive et récente. Ainsi que de nombreuses pièces toutes alignées, donc on peut penser que l’appartement est grand. On peut remarquer plusieurs collants étant attachés les uns aux autres. Ils sont reliés d’un lustre à ce qui semble être une fenêtre. Puisque nous pouvons voir, au niveau du parquet le reflet de la premier fenêtre au fond de la pièce et un deuxième reflet qui nous permet de dire qu’une deuxième fenêtre est présente. Ces deux fenêtre éclairent la pièce d’une lumière naturelle.
Il s’agit de l’intérieur d’une pièce d’un appartement qui semble très vaste, très luxueux. Car nous pouvons observer de la peinture très vive et récente. Ainsi que de nombreuses pièces toutes alignées, donc on peut penser que l’appartement est grand. On peut remarquer plusieurs collants étant attachés les uns aux autres. Ils sont reliés d’un lustre à ce qui semble être une fenêtre. Puisque nous pouvons voir, au niveau du parquet le reflet de la premier fenêtre au fond de la pièce et un deuxième reflet qui nous permet de dire qu’une deuxième fenêtre est présente. Ces deux fenêtre éclairent la pièce d’une lumière naturelle.
Ces
collants reliés à deux choses nous font penser à un début de cabane
d’enfant, toute colorée, nous pouvons imaginer la joie des enfants dans
la couleur des collants. Nous pouvons noter que dans la pièce du fond il
y a une sorte de drap posé sur le plancher. Ce logement nous fait
penser à un appartement parisien.
Nous
trouvons cette oeuvre à la fois originale, en effet ce n’est pas tous
les jours que nous faisons ceci chez nous. Mais nous ne voyons pas
l'intérêt de cette oeuvre, cela n’exprime rien, n’a aucune logique. La
seule belle chose qu’on peut trouver c’est l’appartement et non pas
l’oeuvre en elle même. Il
y a plusieurs points positifs ainsi que des points négatifs ce qui nous
fait douter sur notre avis.
Laure Mercier et Félix Verdeguer.
L’HOMME QUI RIT ?
Yue Minjun
Free Sky No.1, 2012
Huile sur toile
100 x 90
Courtesy Galerie Daniel Templon, Paris
Le
tableau représente un homme d’origine asiatique pratiquement nu sur un
fond nuageux. L’homme a un teint rose presque rougeâtre, il se tient
dans une position “bizarre”, il a l’air de sourire en criant. Son visage
est figé dans une expression de douleur, il semble presque en rire et
il a l’air en même temps de s’esclaffer mais d’un air presque cynique
comme s'il se moquait de sa souffrance. Ce tableau paraît représenter la folie humaine.
L’œuvre
porte un regard ironique et désabusé sur le contexte social de la Chine
contemporaine et sur la condition humaine dans le monde moderne.
L’auteur, Yue Minjun est né en 1962 en Chine, c’est un artiste
contemporain. Il étudie la peinture entre 1985 et 1989. Le
paysage nuageux représente le paradis et le personnage rouge et criant
désigne les enfers. L’on pourrait alors imaginer que l’homme serait un
démon pour la terre.
Gabriel Jacob et Vadim Leidner
Probablement
le peintre chinois le plus influent de sa génération, Yue Minjun s’est
fait connaître par ses toiles ambigües, peuplées de personnages aux
visages largement ouverts sur d’inquiétants sourires. Yue Minjun, né en 1962 dans la province de Heilongjiang, est un artiste chinois contemporain vivant à Beijing, en Chine.
Son Free sky est une huile sur toile exposée à la galerie Daniel plon qui mesure 100 cm sur 90.
C’est
un homme tout rose qui est en train de rire et de courir. En arrière plan
il y a un ciel très bien représenté, on peut clairement y voir les
nuages. La manière dont est peinte le visage laisse voir la sueur que
provoque sa course. Le corps est dessiné de façon à faire ressortir la
sueur de la personne dessinée et de marquer les zones d’ombre. Le titre
Free Sky est très bien assorti au tableau car le personnage représenté
court librement dans l'arrière fond qu’est le ciel. Son sourire est
bizarre, on ne sait pas très bien s'il est heureux ou s'il souffre. Le
tableau est assez bien fait, l'harmonie des couleurs rend le personnage
en perspective : c’est un tableau magnifiquement peint.
Maxime Misseri et Pierre Mattéi.
EVASION
David Zwirner, Untitled
(Study for Don't Cross the Bridge Before You Get to the River), 2007.
Huile, crayon et du ruban adhésif sur vélin (30.2 x 27.6 cm)
Courtesy David Zwirner, New York/London.
David
Zwirner est né le 23 octobre 1964 en Allemagne. C’est
un artiste contemporain. Il est le propriétaire de deux galeries :
“galerie david Zwirner”, dont une qui réside à New York et l’autre à
Londres. En 2010 a été classé numéro quatre dans le “Art review” (liste
annuelle). En 2012 il a été classé numéro deux dans Forbes Magazine
parmi les “marchands d’arts les plus influentes d’ Amérique ”.
Au
premier plan nous pouvons voir un garçon tenant un navire dans sa main
droite. Ce navire est composé d’un sabot, d’un bout de papier et d’un
bateau. La moitié de son bras droit est dans de l’eau. Au
second plan le visage et le buste d’un homme sont représentés en rose
pâle. A la droite de cet homme, nous pouvons voir un mélange de couleurs
jaunes, rouges, grises et noires. Revenons au premier plan : à la
droite du garçon apparaît de dos une silhouette rose pâle, représentant
un homme. A sa droite nous observons un second navire. Cette peinture est entourée d’un bandeau blanc. Cette oeuvre nous fait penser au tableau de Martial Raysse, intitulé “souviens-toi de Tahiti”.
Dans
ces deux tableaux l’idée de la mer est présente. Dans celui de
Martial Raysse, avec le ballon de plage, le parasol, la serviette et le
maillot de bain de la femme. Et dans ce lui de David Zwirner avec l’eau
et les bateaux. Ces deux oeuvres sont aussi très colorées.
L’oeuvre représente un rêve d’évasion, l’observateur se sent
intrigué, curieux et serein voulant en savoir plus sur ce voyage. Ce
tableau nous transporte dans cette exploration, il dégage une énergie
positive.
Stessy Picazo et Anaïs Dujarrier
LES DEUX MAISONS
James Casebere, Cloudy/Sunny Skies, 2013
Photographie couleur montée sur Dibond et encadrée (107,5 x 89)
Courtesy Galerie Daniel Templon, Paris
James
Casebere est un artiste peintre et photographe américain né en 1953 à
lansing. James a aussi obtenu un bachelor aux Beaux-arts au collège d’art et
de design de Minneapolis en 1976 avant d'être diplômé d’un master en Beaux-arts à l’institut des art de Californie en 1979.
Casebere
construit lui-même des modèles réduits d'architecture, soigneusement
réalisés et peints, qu'il photographie ensuite : par un éclairage et des
effets complexes de clairs-obscurs, des angles de prises de vue
générateurs d'effets théâtraux et des tirages de grand format, James
Casebere met en scène une réflexion sur l'espace, la lumière et
l'architecture, où la figure humaine est absente et évoquée par
allusions.
L’oeuvre
nous montre une maison coupée en deux entre pauvreté et richesse. Le
côté gauche est pauvre, insalubre et sombre, tombe en pièces, la
végétation est morte et la pelouse est sèche. Tandis que le coté droit
est neuf, propre, éclairé, la végétation y est abondante ; Le ciel aussi
représente les deux cotés avec à gauche un ciel sombre et nuageux alors
qu'à droite le ciel est parfaitement dégagé. Cette oeuvre nous fait penser à la peinture de René Magritte qui s’intitule L’empire des lumières.
Thomas Breton et Timothée Lecoq .
ARC-EN-CIEL
Anne Devillepoix, Harvest, 2011.
Anne
de Villepoix est née le 10 juin 1969 à Rueil-Malmaison. Elle vit et
habite à Paris et Bougival. En 2003, elle achève la création de
l’atelier de mosaïque Romaine, à Bougival. Cette
oeuvre représente trois personnages qui essaient de toucher un
arc-en-ciel avec de grands bâtons, dans la nuit. C’est une oeuvre
irréaliste car il est impossible qu’il y ait un arc-en-ciel durant la
nuit et de le toucher. On peut apercevoir des arbres derrière les trois
hommes.
Le
tableau se divise en deux parties ; en haut à gauche, un coté lumineux
grâce à l’arc-en-ciel et en bas à droite, un coin plus sombre. Ce qui
nous amène à un clair-obscur.
La
partie du haut est opposée à la partie du bas, l’arc-en-ciel est fait
de manière trop simple par rapport au reste du tableau et il est trop
lumineux ce qui donne un coté irréaliste au tableau. Le flou du bas du tableau laisse un côté de mystère.
L’artiste
veut nous montrer la naïveté des hommes, qui croient qu’ils peuvent
toucher l’arc-en-ciel. Mais aussi leur volonté d’aller plus haut avec la
représentation de l’arc-en-ciel qui monte vers le haut.
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